Auguste Mariette (1821-1881) demeure une figure emblématique de l’égyptologie, reconnu pour ses découvertes majeures qui ont révélé les secrets de l’Égypte ancienne. Son parcours, mêlant passion, persévérance et intuition, s’apparente à une véritable chasse au trésor archéologique.
Né à Boulogne-sur-Mer, Mariette développe très tôt un intérêt pour les civilisations anciennes. En 1850, mandaté par le Louvre pour acquérir des manuscrits coptes, il se rend en Égypte. Bien que sa mission initiale échoue, il est captivé par les mystères enfouis sous les sables égyptiens.
C'est en 1851, lors de ses explorations à Saqqarah, que Mariette fait une découverte spectaculaire. En apercevant une tête de sphinx émerger du sable, il se remémore les écrits de Strabon mentionnant une allée de sphinx menant au Sérapéum, le sanctuaire souterrain dédié aux taureaux Apis sacrés. Avec une détermination sans faille, il entreprend des fouilles qui le conduisent à exhumer cette nécropole oubliée, mettant au jour des sarcophages monumentaux et des trésors inestimables
Conscient de la nécessité de protéger les antiquités égyptiennes, Mariette fonde en 1858 le Service des Antiquités de l'Égypte, précurseur du Conseil Suprême des Antiquités. Il est également à l'origine du premier musée égyptien au Caire, assurant ainsi la conservation des trésors découverts pour les générations futures.
Auguste Mariette incarne l'esprit des grandes chasses au trésor archéologiques, où la quête de savoir guide l'explorateur à travers les mystères du passé. Son dévouement et ses découvertes continuent d'inspirer les passionnés d'histoire et d'aventure.
Jean-François Champollion déchiffre les hiéroglyphes en 1822. Grâce à lui, les mots des anciens Égyptiens parlent à nouveau.
Auguste Mariette, quelques décennies plus tard, ouvre les portes de leurs sanctuaires oubliés. Il ne traduit pas : il découvre, creuse, interprète dans la matière.
Ensemble, ces deux pionniers ont posé les fondations de l’égyptologie moderne.
Mais pour Arcanéis, ils sont aussi à l’origine de la plus grande chasse au trésor archéologique jamais imaginée.
Fasciné dès l’enfance par les mystères de l’Égypte, Champollion consacre sa vie à comprendre l’écriture des anciens. En 1822, à partir de la pierre de Rosette, il parvient à déchiffrer les hiéroglyphes, ouvrant ainsi une porte symbolique : celle du savoir perdu. Ses découvertes permettent aux générations futures – dont Mariette – de donner un sens aux inscriptions sur les murs des temples, des tombes et des artefacts. Sans Champollion, pas d’accès au langage des dieux. Sans langage, pas d’énigme.
En 1850, Auguste Mariette débarque en Égypte. Il n’est pas encore l’archéologue que l’on connaît.Mais lorsqu’il aperçoit une tête de sphinx dépassant du sable, il se souvient des textes anciens. Il creuse… et met au jour le Sérapéum de Saqqarah. Dans ses couloirs taillés dans la roche, il découvre des sarcophages géants, des galeries sacrées et un silence chargé de sens. Là où Champollion a déchiffré, Mariette a exhumé. Là où l’un a lu, l’autre a révélé. Ensemble, ils incarnent le double visage de la quête archéologique : la connaissance et l’exploration.
Chez Arcanéis, nous faisons dialoguer ces deux figures fondatrices.Nos aventures sont inspirées par les écrits de Champollion et les découvertes de Mariette. Chaque énigme, chaque symbole, chaque objet est pensé comme un pont entre savoir et mystère. Nos chasses au trésor plongent les joueurs dans une Égypte où les dieux parlent encore, et où les galeries n’ont pas livré tous leurs secrets…